Chroniques sur la création musicale
Montréal, le 6 avril 2020 Cher Michel, Je te remercie pour cette vaste réplique à laquelle je réponds suite à la relecture de nos échanges, de ton article « Jeu de raclures » (1997) et de ton entretien avec Jimmie LeBlanc, « Beautés et cruautés de l’harmonie naturelle » (2019), tous deux parus dans Circuit, qui ont nourri mes…
Lire la suite “Les profondeurs du goût (ou : les deux pieds dedans…)” »
Quelque temps après leur entrevue par courriel (À partir de Bestiaire – 25/9/2018), Émilie Girard-Charest et Michel Gonneville ont convenu de poursuivre la conversation amorcée et d’approfondir quelques thèmes déjà abordés.
À propos du concert Chanson du bonhomme de chemin de l’ECM+, Benoît Côté écrit : “on ne peut plus parler ici d’un simple récital : il s’agit d’une œuvre unifiée, certes écrites à plusieurs mains, et reçue comme un tout dans lequel les éléments ne font pas que se répondre, mais deviennent co-dépendants de la même vision globale.”
Alexis Raynault nous présente le concert Chansons du Bonhomme de chemin de l’ECM+ réunissant 8 chansons du cycle éponyme de Michel Gonneville et un choix d’œuvres pour piano d’Érik Satie.
Marie-Pierre Brasset suit le fil conducteur du concert Hommage au Conservatoire, donné par l’Ensemble Paramirabo le 26 novembre 2014, avec des créations de Carmen Vanderveken et Charles-Philippe Tremblay-Bégin, et des œuvres de Serge Provost, Michel Gonneville et Tristan Murail.
L’auteur convie à une écoute active de deux œuvres ayant en commun de puiser à même leurs environnements sociaux ou naturels respectifs certains aspects fondamentaux de leurs processus créatifs
